Publié le 14 décembre 2022
| par Juliette Roussel.
Source :
BFM Business
Ces dernières années, les obligations réglementaires de plus en plus nombreuses en matière de développement durable ont été déclinées dans les stratégies RSE des acteurs économiques, pour assurer leur conformité mais aussi pour exprimer des engagements.
Qu’elles opèrent en B2B ou en B2C, nombre d’entreprises n’ont pas attendu les éventuelles sanctions financières pour s’interroger sur leur contribution au développement durable. Il en est de même des particuliers, de plus en plus nombreux à souhaiter s’impliquer dans des projets à impact positif pour la société et le climat.
Le financement participatif des énergies renouvelables, cœur de l’activité de Lumo, plateforme pionnière en la matière, peut s’avérer être la solution pour débloquer ces projets.
Avec son système simple, facile et direct, Lumo redonne le pouvoir aux investisseurs et leur offre la possibilité de choisir par eux-mêmes la finalité de leur épargne.
Un enjeu de société tel que la lutte contre le dérèglement climatique ne peut concerner les seuls pouvoirs publics. Tous les citoyens sont en droit de se sentir impliqués et désireux d’y contribuer. De nombreux projets en faveur de la transition écologique peuvent ainsi bénéficier d’un financement participatif qui met directement en relation épargnants, investisseurs et projets, que ces derniers soient portés par des particuliers, des associations, des entreprises ou des collectivités territoriales. La finance est ici un outil permettant de rassembler autour de chantiers très concrets des parties prenantes ayant des valeurs communes.
Lumo propose des obligations émises par des entreprises ou des sociétés de projet qui gèrent des infrastructures d’énergie renouvelable. Il peut s’agir d’installations solaires, de parcs éoliens, de biogaz ou de petites centrales hydroélectriques. Dans tous les cas, Lumo aligne ses valeurs et son mode de fonctionnement avec les projets proposés aux épargnants.
L'investissement est accessible à partir de 50 euros. Les obligations présentent un taux d'intérêt annuel brut de 3 à 7 % avec une maturité de 3 à 5 ans.
Tous ces investissements concourent à deux choses fondamentales : 1 : un mix énergétique qui va dans le sens d’une décarbonation de l’énergie 2 - une amélioration de la souveraineté énergétique des territoires, un engagement dont la guerre en Ukraine a rappelé l’importance vitale.
Aujourd’hui adossée à Société Générale, un des leaders en matière de financements d’infrastructures notamment dans le domaine de l’énergie, Lumo a pu ainsi pérenniser son financement et monter en puissance en améliorant son processus, ses outils et son expertise.
Son objectif d’ici 2025 : devenir un acteur majeur à l’échelle européenne. Une ambition qui s’articule autour de deux chantiers significatifs : - une ouverture vers l’international pour ce qui est des projets à financer, et une ouverture à l’Europe en ce qui concerne les investisseurs avec un enrichissement des offres pour dépasser le cadre de la production d’énergie de source renouvelable et accompagner la décarbonation de l’économie.
Les chantiers sont aussi nombreux que les défis sont immenses.
Le processus de sélection de Lumo est un facteur de différenciation extrêmement important. En effet, conscient de la responsabilité qui est la sienne envers les investisseurs privés qui placent leur épargne dans ses projets et n’ont pas à prendre de risques déraisonnables, Lumo veille à maintenir un taux de défaut nul.
Enfin, soucieuse d’être une organisation à impact et de mettre son modèle d’affaires au service de l’intérêt général, Lumo, qui a été en 2015, la première start-up certifiée B-Corp, vient d’obtenir sa 3ème certification B-Corp. Ce faisant, elle entend répondre à l’ambition des entreprises labellisées : non pas être les meilleures au monde, mais les meilleurs POUR le monde.