Le bois comme source écologique de chaleur et d’énergie

Issu de la biomasse végétale et utilisé sous diverses formes telles que le bois de chauffage, les granulés, les bûches compressées et autres résidus transformés, le bois énergie s'inscrit dans une logique de valorisation des ressources locales et de réduction de l'empreinte carbone.  

Malgré ses nombreux avantages en tant que source d'énergie renouvelable, le bois-énergie doit être considéré dans le cadre d'une approche globale de la gestion des ressources naturelles. La durabilité de son exploitation repose sur une gestion forestière équilibrée et une plus grande sobriété énergétique.   

Enfin, il est impératif de continuer à rechercher des méthodes de combustion plus propres et plus efficaces afin de minimiser l'impact environnemental du bois-énergie. 

Bilan sur les avantages et les voies d’amélioration de cette filière stratégique de la transition énergétique.  

 

  1. Le bois : une source de chaleur renouvelable économique  
  2. Le bois : une source d’énergie locale bas-carbone  
  3. Filière bois-énergie : un marché en pleine croissance  
  4. Bois et transition écologique 
  5. Limites et voies d’amélioration des filières bois dans le cadre de la transition écologique 
  6. Soutenir la filière bois-énergie grâce au financement participatif 

 

 

Le bois : une source de chaleur renouvelable économique  

En France, la moitié de l'énergie consommée est destinée à la production de chaleur, laquelle est principalement générée par des sources d'énergie carbonées et importées telles que le gaz et le fioul. Actuellement, les énergies renouvelables ne contribuent qu'à hauteur de 27,2 % à la production de chaleur dans le pays. Parmi les sources d'énergie renouvelable, le bois énergie occupe la première place, surpassant l'hydraulique, l'éolien, le solaire et la géothermie.1 


Source : https://selectra.info/energie/guides/conso/energie-la-moins-chere

 

Si le gaz naturel (8,64€ pour 100 kWh) reste, à ce jour, légèrement moins cher que le bois (10,08€ pour 100 kWh), le second présente des qualités environnementales plus intéressantes et se montre plus résilient face aux enjeux géostratégiques contemporains. 

En outre, le bois-énergie bénéficie d'une moindre volatilité des prix par rapport aux énergies fossiles. Historiquement, le marché du bois est moins sujet aux fluctuations rapides qui caractérisent le marché du pétrole et du gaz naturel. Ces derniers sont en effet influencés par une multitude de facteurs géopolitiques, économiques et réglementaires qui peuvent entraîner des variations de prix importantes et imprévisibles.  

Enfin, les technologies modernes de combustion du bois, telles que les poêles à haut rendement et les chaudières à granulés, maximisent l'énergie tirée du bois tout en réduisant les émissions, augmentant ainsi leur rentabilité économique et leur acceptabilité environnementale. 

 

 

Le bois : une source d’énergie locale bas-carbone  

La filière bois-énergie est fortement localisée, ce qui signifie que la distance entre le lieu de production et le lieu de consommation est relativement faible. Cette proximité est cruciale car elle réduit considérablement les émissions de dioxyde de carbone associées au transport des combustibles.  

En comparaison, les énergies fossiles, souvent extraites et raffinées loin des points de consommation, nécessitent un transport sur de longues distances, entraînant des émissions substantielles avant même leur utilisation finale. 

En France, près d'un tiers du territoire métropolitain est recouvert de forêts, classant ainsi le pays au quatrième rang européen en termes de surface forestière. Ces espaces forestiers offrent des « services » essentiels pour l'homme et l'environnement, notamment en termes de conservation de la biodiversité, des sols et de la qualité des eaux, ainsi que pour le captage et le stockage du carbone. Elles tiennent également une place culturelle significative, étant des lieux privilégiés pour les activités de plein air. 

Économiquement, les volumes de bois prélevés sont principalement utilisés de trois manières :  

  • 37 % sont transformés en bois d’œuvre pour la construction, les résidus étant en partie redirigés vers l'industrie pour la production de papier ou de panneaux, ou vers la filière bois énergie.  
  • Environ 18 % des volumes servent directement à l'industrie pour fabriquer du papier, des panneaux et des produits chimiques, avec les résidus pouvant être utilisés pour générer de l'énergie.  
  • 45 % des volumes sont prélevés spécifiquement pour la production d'énergie, utilisée soit par les particuliers pour le chauffage, soit par des professionnels pour fournir du bois bûche ou de la plaquette forestière aux chaufferies. 

 
Qui plus est, le bois affiche des émissions de CO2e tout à fait honorables en comparaison avec d’autres énergies (classées par ordre croissant) :  

Source d’énergie 

Type d'énergie 

Émissions de CO2 (kgCO2e/kWh) 

Énergie nucléaire 

Électricité (centrale nucléaire) 

0,006 

Énergies renouvelables 

Électricité (centrale hydraulique) 

0,006 

 

Électricité (éolien terrestre) 

0,0141 

 

Électricité (éolien en mer) 

0,0156 

 

Bioéthanol 

0,144 

 

Biométhane 

0,0163 

 

Bois granulé 

0,027 

 

Bois bûches 

0,032 

 

Électricité (photovoltaïque) 

0,0439 

 

Électricité (géothermie) 

0,045 

Énergies fossiles 

Gaz naturel 

0,243 

 

Propane 

0,27 

 

Butane 

0,273 

 

Fioul domestique 

0,314 

 

Électricité (centrale gaz) 

0,418 

 

Électricité (centrale fioul) 

0,73 

 

Électricité (centrale charbon) 

1,06 

Source : Base Carbone de l’ADEME, 2024 

 

Ces émissions sont partiellement compensées par la séquestration du carbone effectuée pendant la croissance des arbres. Ainsi, le cycle de croissance et de combustion est souvent proche de la neutralité carbone. 

 

 

Filière bois-énergie : un marché en pleine croissance  

Chaque année, environ 31 millions de tonnes de bois-énergie sont consommées dans le pays, avec une répartition de 2,7 millions de tonnes de granulés, 28 millions de tonnes de bois bûches et 150 mille tonnes de bûches compressées en 2022. 

Le marché des granulés de bois représente environ 1 milliard d'euros et affiche une croissance remarquable, avec un taux de croissance annuel composé de 25% entre 2017 et 2022. De même, le marché des bois bûches est estimé à environ 2,2 milliards d'euros, tandis que celui des bûches compressées atteint 30 millions d'euros.2 
 

Je souhaite investir dans la filière bois énergie

 
On observe une transition significative du chauffage d'agrément ou d'appoint traditionnel en foyer ouvert vers le bois-énergie, qui devient de plus en plus le mode de chauffage principal dans de nombreux foyers.  

Cette transition s'opère notamment par la conversion des logements vers l'utilisation de poêles et de chaudières à granulés ou à bûches. En moyenne, les ménages français consacrent un budget annuel d'environ 760€ pour le chauffage au bois-énergie. 

 

Bois et transition écologique 

 

Comme évoqué précédemment, le bois énergie est un enjeu incontournable et stratégique de la transition énergétique. Il représente 66% de la chaleur renouvelable, largement devant les autres énergies renouvelables 3 

 

Les forêts et le bois jouent trois rôles cruciaux dans la lutte contre le changement climatique grâce à leur capacité à absorber le dioxyde de carbone par photosynthèse : 

  • En tant que réservoirs de carbone, les forêts et les produits en bois à longue durée de vie, tels que les charpentes et les meubles, stockent le carbone présent dans la matière organique des arbres et des sols.  
  • Elles fonctionnent comme des puits de carbone, capturant du CO2 de l'atmosphère lorsque la croissance forestière (production de bois par les arbres) dépasse les prélèvements et la mortalité, ou lorsque la surface forestière s'accroît.  
  • Leur utilisation en substitution à des matériaux non renouvelables comme l'acier ou le ciment, ou encore à des énergies fossiles telles que le charbon et le gaz, contribue également à la réduction des émissions de carbone. 


Cependant, les dernières estimations montrent que le puits forestier a diminué de moitié en 10 ans, en raison de l'accélération du changement climatique qui engendre une croissance forestière réduite due à divers facteurs (animaux ravageurs, sécheresses, incendies, tempêtes...) et, dans une moindre mesure, une hausse des prélèvements. 
 

Ce phénomène souligne l'importance d'adapter les forêts aux effets du changement climatique en favorisant des pratiques sylvicoles qui augmentent la résilience des peuplements et réduisent les risques liés aux impacts attendus du changement climatique, comme la diversification des essences, des âges et des tailles des arbres sur une même parcelle. 


On l’a vu précédemment, le bois énergie est souvent perçu comme neutre en carbone car il est considéré que les émissions de CO2e générées lors de la combustion sont contrebalancées par le carbone capté lors de la croissance des arbres. Cependant, cette perspective est simplifiée et ne prend pas en compte le délai entre les émissions immédiates de la combustion et le temps plus long nécessaire pour la croissance des arbres. De plus, contrairement à certaines perceptions, les émissions du bois énergie sont bien comptabilisées dans les inventaires nationaux de gaz à effet de serre, conformément aux recommandations du GIEC.
 

Pour minimiser l'impact climatique du bois énergie, il est essentiel de comprendre les phénomènes en jeu et de définir des pratiques sylvicoles optimales. L'ADEME a publié un avis mettant en avant des pratiques qui augmentent la production de bois énergie tout en optimisant les stocks de carbone en forêt. Ces pratiques incluent l'utilisation de bois qui serait de toute façon coupé (pour la récolte de bois d’œuvre, coupes sanitaires, etc.), la sélection d'arbres de faible diamètre, et le boisement de terres en déprise.

En adoptant ces pratiques, le bois énergie peut effectivement contribuer à l'atténuation du changement climatique et devrait être privilégié pour remplacer les installations utilisant des énergies fossiles.4 

 

Chiffres et enjeux de la préservation des forêts dans le monde en quelques chiffres 5 

  • Avec 3,8 milliards d’hectares, les forêts recouvrent plus d’1/4 de la surface émergée de la planète ; 
  • Sur 1,3 millions d’espèces animales et végétales terrestres recensées, les 2/3 vivent en forêt ; 
  • A l’échelle de la planète, 300 millions de personnes vivent dans les forêts, et 1,8 milliard de personnes dépendent directement des forêts pour leur subsistance ; 
  • Véritable puits de carbone, la forêt stocke 30% des émissions mondiales de gaz à effet de serre ; 
  • Sur les 3,8 milliards d’hectares de forêts dans le monde, seules 12% sont certifiés pour leur gestion durable (dont 300 millions certifiés PEFC). 

 

 

Limites et voies d’amélioration des filières bois dans le cadre de la transition écologique 

 

Qualité de l’air 6 

La qualité de l'air en France est fortement influencée par les émissions de polluants, mais la relation entre ces émissions et les niveaux d'exposition de la population à la pollution atmosphérique n'est pas directe, en raison de l'interaction des polluants avec divers phénomènes météorologiques et la topographie.  

Pour améliorer la qualité de l'air extérieur et réduire l'impact sanitaire de la pollution, il est essentiel de réduire les émissions de polluants. Ce constat souligne la nécessité d'améliorer les connaissances sur les impacts santé liés à l'exposition à la pollution issue de la combustion du bois en chauffage domestique. 

La combustion du bois est une source significative de pollution de l'air, principalement en raison des particules fines PM2,5, qui sont responsables de près de 40 000 décès par an en France.  

Les particules fines PM2,5 désignent des particules en suspension dans l'air qui ont un diamètre inférieur ou égal à 2,5 micromètres. En raison de leur petite taille, elles peuvent rester en suspension dans l'air pendant de longues périodes et sur de grandes distances par rapport à leur source originale. 

 

Selon le CITEPA, le bois énergie représente 64 % des émissions annuelles de PM2,5, avec le chauffage domestique au bois contribuant à près de 98 % de ces émissions. Toutefois, ces émissions ont diminué de 51 % entre 1990 et 2021, grâce au remplacement d'anciens équipements de chauffage par des installations plus performantes, notamment à granulés. 

 

Les émissions de PM2,5, ainsi que d'autres polluants comme les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), sont aggravées par une combustion de mauvaise qualité.  

Pour minimiser ces émissions, plusieurs actions sont prioritaires :  

  • Renforcer l'isolation des bâtiments pour réduire les besoins de chauffage ; 
  • Accélérer le remplacement des appareils de chauffage individuels anciens et des foyers ouverts par des modèles plus efficaces ; 
  • Former les utilisateurs aux bonnes pratiques de combustion ; 
  • Sensibiliser à l'impact des foyers ouverts ;  
  • Améliorer la formation des professionnels sur le dimensionnement des conduits et l'installation des appareils pour optimiser la combustion ; 
  • Développer les connaissances sur les émissions d'autres polluants à impact sanitaire et sur l'amélioration des performances des appareils de chauffage. 

 

 

Il est à noter que les poêles à bûches récents ainsi que les chaudières et poêles à granulés qui correspondent aux équipements usuels en tant que solution de chauffage principal ou d’appoint émettent 100 fois moins de particules fines que les cheminées d’agrément. Le label « flamme verte » a été développé pour garantir les performances en matière d’émissions polluantes des poêles et chaudières.7 

 

Préservation des sols 8 

Les pratiques de récolte du bois mal gérées, telles que l'extraction intensive ou le défrichement non réglementé, peuvent entraîner une dégradation des sols. Cela peut compromettre la fertilité, entraîner une érosion accrue et réduire la capacité des écosystèmes forestiers à fournir des services écosystémiques essentiels. 

En France, le Code Forestier présente les dispositions législatives et réglementaires en matière de forêt. Toutes les forêts publiques relevant du régime forestier, ainsi que les forêts privées de plus de 25 ha sont tenues de disposer d’un document de gestion agréé. 

Pour être agréé le document de gestion doit respecter les règles : 

  • De la gestion durable9 ; 
  • De l’amélioration sylvicole permettant de respecter la hiérarchie des usages. 

 

Dans les forêts non soumises à garantie de gestion durable, c’est-à-dire les forêts privées de moins de 25 ha n’ayant pas bénéficié d’avantages fiscaux et les forêts publiques non susceptibles d’aménagement et d’exploitation régulière, la réglementation vise à protéger la futaie et à assurer la pérennité des peuplements forestiers. 

Ainsi, certaines coupes sont soumises à autorisation et d’autres sont soumises à reconstitution obligatoire : 

  • Toute coupe de plus de 2 ha prélevant plus de la moitié du volume des arbres de futaie est soumise à autorisation préfectorale ; 
  • Après toute coupe rase de plus d’un hectare, une régénération satisfaisante (naturelle ou par plantation) doit être réalisée dans les 5 ans. 

 

Monocultures et Biodiversité 

La monoculture forestière tend à favoriser la plantation d'une seule espèce d'arbre sur de grandes étendues, ce qui réduit la diversité génétique des arbres dans la région. Cette uniformité génétique les rend plus vulnérables aux maladies et aux infestations de parasites capables de décimer de vastes zones forestières. 

Ensuite, les forêts naturellement diversifiées abritent une large variété d'espèces animales et végétales, et une monoculture peut ne pas fournir les habitats variés nécessaires à de nombreuses espèces, entraînant ainsi une diminution de la faune et de la flore locales. 

Les forêts diversifiées sont généralement plus résilientes face aux variations climatiques. Les monocultures, en revanche, peuvent être plus vulnérables à des conditions telles que les sécheresses ou les tempêtes, réduisant ainsi leur capacité à se régénérer après des événements climatiques extrêmes10. 


« L’accent mis sur la plantation d’arbres est un moyen de se détourner du principal enjeu. Une stratégie d’adaptation prometteuse et efficace est d’abord d’essayer d’accompagner et d’améliorer les peuplements en place à chaque fois que cela est possible. L’Union Européenne partage cette vision d’une sylviculture qui s’appuie sur les écosystèmes. Elle a en effet adopté une stratégie allant en ce sens en juillet 2021 ».
11 

En France, la gestion des forêts varie selon les modalités et objectifs, notamment pour la récolte de différents types de bois comme le bois matériau, le bois industrie ou le bois énergie.  

Une méthode courante est la gestion en futaies régulières, où tous les arbres d'une parcelle sont d'un âge similaire et présentent une hauteur et un diamètre équivalents. Cette gestion comprend des éclaircies, qui réduisent la densité des arbres pour favoriser la croissance de ceux ayant un meilleur potentiel pour la production de bois matériau en améliorant leur accès à la lumière et en diminuant la compétition pour l'eau.  

Certaines parcelles sont gérées différemment, notamment en taillis où les arbres sont coupés pour fournir du bois énergie, laissant la souche se régénérer jusqu'à la prochaine coupe de rajeunissement. Les coupes totales sont également pratiquées pour renouveler les peuplements affectés par des sinistres naturels ou le changement climatique, permettant de replanter des forêts capables de stocker du carbone de manière durable. 

Malgré la diversité des pratiques, les coupes rases et fortes ne représentent qu'entre 1 et 2 % de la surface coupée annuellement en France. Ces pratiques sont encadrées pour limiter leur impact sur les écosystèmes.  

En 2022, le GIP ECOFOR a publié une expertise collective avec des recommandations pour limiter l'impact des coupes rases sur les écosystèmes. De plus, un guide de bonnes pratiques pour une récolte durable de bois énergie a été développé par les acteurs forestiers et l'ADEME, soulignant la nécessité d'adapter les pratiques sylvicoles pour préserver la qualité des sols et des écosystèmes forestiers, surtout dans un contexte de changement climatique accéléré. 

L'ADEME continue de collaborer avec la filière bois pour affiner les pratiques de récolte du bois énergie et promouvoir celles qui préservent au mieux les écosystèmes. Cette démarche s'intègre dans une perspective européenne, en conformité avec la directive européenne sur les énergies renouvelables (RED), qui impose de nouvelles exigences sur l'origine du bois et promeut un principe d'usage en cascade favorisant les utilisations matérielles 12. 

 

 

Soutenir la filière bois-énergie grâce au financement participatif 

Les investisseurs individuels peuvent participer activement au financement de projets qui ont un impact direct sur leur environnement, renforçant ainsi l'engagement et le soutien local pour les initiatives durables. Cette approche contribue à créer un sentiment de propriété collective et d'investissement personnel dans le succès des projets, ce qui peut être essentiel pour des initiatives à long terme telles que le développement de la biomasse et de l'énergie renouvelable. 
 

Soutenir la filière bois énergie 

 

En participant financièrement, les investisseurs peuvent devenir des ambassadeurs du projet dans leurs propres réseaux, contribuant ainsi à une meilleure compréhension et à une plus grande visibilité des bénéfices de l'utilisation du bois comme source d'énergie renouvelable. Cette sensibilisation est cruciale pour le développement durable et peut encourager d'autres initiatives similaires, amplifiant l'impact positif sur l'environnement.


Sources :
(1) https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/edition-numerique/chiffres-cles-energies-renouvelables-2023/pdf/chiffres-cles-des-energies-renouvelable-2023.pdf
(2) https://www.wooday.com/(3) ADEME, Avis Bois Energie, Novembre 2023(4) https://librairie.ademe.fr/changement-climatique-et-energie/6653-avis-de-l-ademe-le-bois-energie.html(5) https://www.pefc-france.org/la-gestion-durable-de-la-foret/(6) https://librairie.ademe.fr/energies-renouvelables-reseaux-et-stockage/5664-comment-bien-se-chauffer-au-bois--9791029719745.html(7) https://www.flammeverte.org/ (8) https://www.isere.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Foret/Principales-reglementations-forestieres/1-Introduction-a-la-reglementation-forestiere(9) https://www.pefc-france.org/la-gestion-durable-de-la-foret/(10) https://www.novethic.fr/actualite/environnement/biodiversite/isr-rse/repenser-la-foret-les-coupes-rases-et-les-plantations-en-monoculture-doivent-etre-au-c-ur-des-discussions-151077.html(11) https://www.canopee.ong/wp-content/uploads/2023/10/canopee-enquete-afb-oct-2023.pdf(12) https://librairie.ademe.fr/produire-autrement/4196-recolte-durable-de-bois-pour-la-production-de-plaque es-forestieres-9791029714474.html

 

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